J'ai posté si souvent sur mon blog au mois d'octobre que l'article pour présenter la chanson d'octobre et l'article pour présenter la chanson de novembre se retrouvent sur la même page... Ce qui fait un peu brouillon, j'imagine que si des individus ayant un désordre visuo-spatial conséquent se pointent inopinément sur mon blog, ils risquent de lire le mauvais article et de n'y rien comprendre (à moins que ce ne soit des individus à désordre visuo-spatial, et désordre accoustique, mais bon, ça ne fait rien, j'accueille tout le monde à bras ouvert sur mon blog !).En bref, je ne vais pas m'étendre sur le sujet de The Scientist par Coldplay puisque je suppose que 85 à 90% de la population bloggienne ici présente connaît (pour les autres, eh bien... Cette musique, c'est The scientist de Coldplay).
Coldplay, c'est un groupe qui est arrivé de nulle part, tout aussi inopinément que les gens aux troubles visuo-spatiaux qui traînent sur mon blog. Et alors ils sont arrivés, et ils ont dit : "nous sommes des Dieux", puis ils l'ont prouvé par quelques accords bien sentis. Depuis, il est d'ordre logique de les vénérer.
Je ne suis pas foncièrement croyante, aussi m'exempterai-je de prières, mais dans le fond de mon délirarisme outrancier, il ressort une idée fondamentale : quand j'écoute Coldplay, qu'il fasse beau, qu'il vente, ou qu'il neige, que je sois pressée ou en vacances, stressée ou apaisée, ce groupe a la capacité d'alpaguer mon attention, le temps d'une chanson, et de m'envoyer tout droit à l'autre bout de l'univers. Il est rare qu'un groupe ou qu'un chanteur parvienne à me faire ressentir cela, et quand bien même il en est un qui y parvient, il est encore plus rare que cette sensation s'effectue sur tout le répertoire de l'artiste.
Je crois que tout est dit, Coldplay... The Scientist... Ces gens-là, je crois, ce sont des alchimistes.
